La jeune fille et sa marraine

Une jeune fille née d’un couple pauvre est adoptée par une mère adoptive qui s’occupe d’elle jusqu’à ce qu’elle atteigne l’âge adulte. Un jour, la mère adoptive doit partir en voyage et laisser la fillette seule, mais avant de partir, elle lui interdit d’ouvrir les trois pièces qu’elle n’a jamais visitées. Une fois celle-ci partie, la fillette ne peut s’empêcher d’ouvrir la première pièce, d’où s’échappe une étoile. À son retour, la mère d’accueil est très fâchée et veut mettre la fille à la porte, mais après l’avoir suppliée et lui avoir promis de ne plus jamais faire la même erreur, elle accepte de la laisser rester.

Au bout d’un certain temps, la mère adoptive repart en voyage et, une fois de plus, la fillette cède à sa curiosité et ouvre la deuxième pièce et, cette fois, c’est la lune qui s’enfuit. De nouveau, la mère adoptive lui pardonne, de nouveau elle part et de nouveau la fille ouvre la dernière pièce, faisant fuir le soleil. Cette fois, la mère adoptive la met à la porte et décide de la punir : elle deviendra la plus belle des femmes, mais elle ne pourra pas parler. Et la jeune fille s’égare dans les bois, où elle est bientôt retrouvée par un prince qui tombe amoureux d’elle et en fait sa reine. Tout va bien et elle lui donne bientôt un enfant, mais pendant qu’elle dort, la mère adoptive arrive et elle prend l’enfant avec elle en réparation pour l’étoile. Lorsque le deuxième enfant naît, elle apparaît à nouveau et prend l’enfant en réparation pour la lune. Puis la reine donne naissance à un troisième enfant, qui est lui aussi emmené en réparation pour le soleil.

Accusée de ces disparitions, la reine doit être exécutée. Mais alors que cela est sur le point de se produire, la Vierge Marie arrive avec les trois enfants. Maintenant que la reine a été aussi affligée que la mère nourricière, elle peut récupérer ses enfants et sa voix.

300,00 

Disponibilité : En stock

Illustrations extraites du conte La jeune fille et sa marraine, publié dans le recueil À l’Est du Soleil et à l’Ouest de la Lune en 1914.

Les œuvres sont vendues sous forme de série de quatre tirages montés dans des passe-partout faits sur mesure et encadrés dans des cadres en bois de chêne massif (dimensions extérieures : 31,5 x 25,5 cm, profondeur 20 mm).

Une jeune fille née d’un couple pauvre est adoptée par une mère adoptive qui s’occupe d’elle jusqu’à ce qu’elle atteigne l’âge adulte. Un jour, la mère adoptive doit partir en voyage et laisser la fillette seule, mais avant de partir, elle lui interdit d’ouvrir les trois pièces qu’elle n’a jamais visitées. Une fois celle-ci partie, la fillette ne peut s’empêcher d’ouvrir la première pièce, d’où s’échappe une étoile. À son retour, la mère d’accueil est très fâchée et veut mettre la fille à la porte, mais après l’avoir suppliée et lui avoir promis de ne plus jamais faire la même erreur, elle accepte de la laisser rester.

Au bout d’un certain temps, la mère adoptive repart en voyage et, une fois de plus, la fillette cède à sa curiosité et ouvre la deuxième pièce et, cette fois, c’est la lune qui s’enfuit. De nouveau, la mère adoptive lui pardonne, de nouveau elle part et de nouveau la fille ouvre la dernière pièce, faisant fuir le soleil. Cette fois, la mère adoptive la met à la porte et décide de la punir : elle deviendra la plus belle des femmes, mais elle ne pourra pas parler. Et la jeune fille s’égare dans les bois, où elle est bientôt retrouvée par un prince qui tombe amoureux d’elle et en fait sa reine. Tout va bien et elle lui donne bientôt un enfant, mais pendant qu’elle dort, la mère adoptive arrive et elle prend l’enfant avec elle en réparation pour l’étoile. Lorsque le deuxième enfant naît, elle apparaît à nouveau et prend l’enfant en réparation pour la lune. Puis la reine donne naissance à un troisième enfant, qui est lui aussi emmené en réparation pour le soleil.

Accusée de ces disparitions, la reine doit être exécutée. Mais alors que cela est sur le point de se produire, la Vierge Marie arrive avec les trois enfants. Maintenant que la reine a été aussi affligée que la mère nourricière, elle peut récupérer ses enfants et sa voix.

Poids 2400 g
Dimensions 31,5 × 25,5 × 2 cm
Artiste

Date

1914

Couleur du cadre

Bois

Dimensions du cadre

30 x 24 cm

Type de reproduction

Série

La jeune fille et sa marraine

300,00 

Disponibilité : En stock

Illustrations extraites du conte La jeune fille et sa marraine, publié dans le recueil À l’Est du Soleil et à l’Ouest de la Lune en 1914.

Les œuvres sont vendues sous forme de série de quatre tirages montés dans des passe-partout faits sur mesure et encadrés dans des cadres en bois de chêne massif (dimensions extérieures : 31,5 x 25,5 cm, profondeur 20 mm).

Une jeune fille née d’un couple pauvre est adoptée par une mère adoptive qui s’occupe d’elle jusqu’à ce qu’elle atteigne l’âge adulte. Un jour, la mère adoptive doit partir en voyage et laisser la fillette seule, mais avant de partir, elle lui interdit d’ouvrir les trois pièces qu’elle n’a jamais visitées. Une fois celle-ci partie, la fillette ne peut s’empêcher d’ouvrir la première pièce, d’où s’échappe une étoile. À son retour, la mère d’accueil est très fâchée et veut mettre la fille à la porte, mais après l’avoir suppliée et lui avoir promis de ne plus jamais faire la même erreur, elle accepte de la laisser rester.

Au bout d’un certain temps, la mère adoptive repart en voyage et, une fois de plus, la fillette cède à sa curiosité et ouvre la deuxième pièce et, cette fois, c’est la lune qui s’enfuit. De nouveau, la mère adoptive lui pardonne, de nouveau elle part et de nouveau la fille ouvre la dernière pièce, faisant fuir le soleil. Cette fois, la mère adoptive la met à la porte et décide de la punir : elle deviendra la plus belle des femmes, mais elle ne pourra pas parler. Et la jeune fille s’égare dans les bois, où elle est bientôt retrouvée par un prince qui tombe amoureux d’elle et en fait sa reine. Tout va bien et elle lui donne bientôt un enfant, mais pendant qu’elle dort, la mère adoptive arrive et elle prend l’enfant avec elle en réparation pour l’étoile. Lorsque le deuxième enfant naît, elle apparaît à nouveau et prend l’enfant en réparation pour la lune. Puis la reine donne naissance à un troisième enfant, qui est lui aussi emmené en réparation pour le soleil.

Accusée de ces disparitions, la reine doit être exécutée. Mais alors que cela est sur le point de se produire, la Vierge Marie arrive avec les trois enfants. Maintenant que la reine a été aussi affligée que la mère nourricière, elle peut récupérer ses enfants et sa voix.

Poids 2400 g
Dimensions 31,5 × 25,5 × 2 cm
Artiste

Date

1914

Couleur du cadre

Bois

Dimensions du cadre

30 x 24 cm

Type de reproduction

Série